Aelis Hopkins Fondatrice
J'ai reçu : 50 lettres depuis mon arrivée à Lake Lure le : 22/05/2020 Je joue : Holland Roden
| Sujet: Aelis Hopkins + « La danse, n'est-elle pas la marche dans son apothéose ; marche noble, dépouillée d'un but utilitaire, et libre comme un jeu d'enfant ? » Lun 25 Mai - 17:32 | |
| Aelis Hopkins Age : 20 ans Date de naissance : 27 avril 1943 Lieu de naissance : Lake Lure Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Statut marital : Célibataire Métier : Serveuse à la Pension Kellerman Groupe : Rock'n roll Célébrité : Holland Roden Caractère : Méfiante ♫Réfléchie ♫Passionnée ♫Paranoïaque ♫Impulsive ♫Sensible Les points essentiels de ta vie : ♫ Anciennement folle amoureuse de son professeur de danse, telle ne fût pas sa surprise et son dégoût pour lui, quand elle a apprit sa vraie nature. ♫ Bien que sa relation avec ses parents fût très conflictuelle, il en est tout autrement désormais. ♫ Aelis a déménagé dans le but d'échapper à lui et reprend progressivement goût à la vie grâce à son boulot de serveuse à la pension Kellerman. | |
| Derrière l'écran Prénom/Pseudo IRL + Léa Age + 21 ans Pays/Région + Normandie (avec les meuh meuh et les cochons aux tâches noires !) Impression sur le forum + Le meilleur de tous et personne n'osera me contredire, hein ? Comment es-tu arrivé(e) ici + Joker Présence + Quotidienne |
Dernière édition par Aelis Hopkins le Ven 29 Mai - 17:50, édité 2 fois | |
|
Aelis Hopkins Fondatrice
J'ai reçu : 50 lettres depuis mon arrivée à Lake Lure le : 22/05/2020 Je joue : Holland Roden
| Sujet: Re: Aelis Hopkins + « La danse, n'est-elle pas la marche dans son apothéose ; marche noble, dépouillée d'un but utilitaire, et libre comme un jeu d'enfant ? » Lun 25 Mai - 19:14 | |
| Histoire « La danse, n'est-elle pas la marche dans son apothéose ; marche noble, dépouillée d'un but utilitaire, et libre comme un jeu d'enfant ? » Le cœur s'emballe, part à toute vitesse vers différents horizons, si bien que le corps suit ses mouvements. Au rythme des battements, la musique l'entraîne, passionnée et enveloppée de la volupté ardente de l'amour. Mais comment s'aveugler à ce point ? Comment s'en vouloir de ne percevoir l’imperceptible ? Ces questions raisonnent dans un esprit torturé, qui prend enfin conscience d'un danger passé.
Aimer est un évanouissement délectable et imprévisible qui transporte aveuglément, si bien que l'homme dont s'était épris Aelis ne pouvait échapper à la réciprocité malgré la différence conséquente d'âge. Le lien qui s'était tissait entre eux n'était que le résultat de l'acharnement gestuel de son enseignant, d'une perfection chorégraphique. La danse était conditionnée comme sa propre vie. Ses parents, riches héritiers d'une des plus grandes familles américaine s'opposaient amèrement à une union, non pas basée sur une passion commune mais au contraire, sur l'écart générationnel qui avait crée un faussé intolérable, socialement. Mais cet engouement entraînait une motivation que seul un sentiment si fort pouvait provoquer tous les désaccords du monde. Inquiets mais particulièrement occupés dans leur vie professionnelle, les Hopkins gardaient un œil averti sur une situation qui ne leur convenait pas. Le fait que son professeur possédait vingt ans de plus qu'elle n'aurait très certainement pas été problématique si la fortune avait suivie.
Néanmoins, quelque chose d'étrange tournait autour de cette ombre masculine, quelque chose d’intelligible et d'impénétrable que même Aelis ne pouvait atteindre. Un mystère planant, faisant office de charme. Un attrait acceptable tant qu'il ne se rapprochait pas de la dangerosité. Perfectionniste malgré la relation qu'elle entretenait avec son professeur de danse, Aelis nageait dans un bonheur si doux qu'une peur de l'éphémère fit peu à peu son apparition. Une affection débordante, irréaliste et atrocement indescriptible ne cessait de s’agrandir. Abominablement. La perfection possède toujours une faille, une faille discrète et presque invisible que même un rapprochement physique et un sentiment partagé ne peut soulever. La mort. Une mort que l'être idyllique fait subir mais ne reçoit pas.
Le meurtrier intelligent sait reboucher les failles pour se rendre impénétrable, jusqu'à ce que sa garde baisse et se retourne contre lui. Comment ne pas s'en vouloir de n'avoir rien soupçonné ? Comment offrir sa vie à quelqu'un qui la vole aux autres ? Lorsque que la jeune femme prit connaissance de cet acte inimaginable, la tétanisation s'était emparée d'elle tout comme son cœur l'avait conduit vers lui. La peur de l'éphémère s'était évaporée, laissant place à l'effroi et la terreur.
Ne pouvant garder tout ça pour elle, elle avait accourue vers ses parents pour leur en faire part et c'est sans aucune hésitation qu'ils s'étaient enfuient à Lake Lure dans le but de reconstruire une nouvelle vie. Ses parents, inquiets et aimants s'étaient renseigner sur la pension Kellerman et trouvèrent évident qu'Aelis pourrait s'y évader en tant que serveuse.
Désormais paranoïaque et effrayée quant au fait de croiser l'homme, ou plutôt le meurtrier dont elle s'était épris, Aelis est devenue de plus en plus méfiante. Elle espère toutefois pouvoir se reconstruire.
Dernière édition par Aelis Hopkins le Ven 29 Mai - 17:48, édité 1 fois | |
|
Aelis Hopkins Fondatrice
J'ai reçu : 50 lettres depuis mon arrivée à Lake Lure le : 22/05/2020 Je joue : Holland Roden
| Sujet: Re: Aelis Hopkins + « La danse, n'est-elle pas la marche dans son apothéose ; marche noble, dépouillée d'un but utilitaire, et libre comme un jeu d'enfant ? » Ven 29 Mai - 17:46 | |
| Edit ! Changement d'histoire pour plus d'intérêt ! | |
|
Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Aelis Hopkins + « La danse, n'est-elle pas la marche dans son apothéose ; marche noble, dépouillée d'un but utilitaire, et libre comme un jeu d'enfant ? » | |
| |
|